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Teatro La Fenice, ''I quatro rusteghi''

Venise

Le linge étendu pour sécher a été stylisé avec des coupes de gaze semi-rigide GTR - Tarlatana.Contrairement au public présent dans la salle, certains critiques n'ont pas apprécié la mise en scène de Livermore, lui reprochant de considérer la vision de Goldon comme anachronique et, la jugeant inapplicable à la réalité contemporaine, d'avoir traité la mise en scène du bijou de Wolf-Ferrari avec superficialité et désintérêt.
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D'une conversation échangée par hasard (avant le début) avec le scénographe Santi Centineo, qui devait pourtant bien connaître le point de vue de Livermore, une intention beaucoup plus raffinée avait émergé.La thèse n'était pas l'anachronisme de Goldoni, aujourd'hui plus vital que jamais, mais le fait de souligner comment Venise, son histoire, ses coutumes et ses personnages, y compris donc ceux des Les quatre rusteghi ...
... ont subi pour l'œil contemporain une dégradation due à l'agression du tourisme de masse, qui les a vidés de leur sens originel, les rétrogradant au rôle de souvenirs.Emblématique à cet égard aurait été la scène finale de la photo de groupe, dans laquelle une énorme bulle transparente avec des turbines à neige était censée tomber sur les personnages, supprimée en raison de difficultés techniques.
Le projet de l'Impression numérique du ciel assombri souligne la subdivision de l'image sur les toiles dont le Fond rétroilluminé impression numérique était composé.
Les scénographies de Santi Centineo ont utilisé un grand Fond rétroilluminé impression numérique et nombreux pendrillons réalisés avec le film pour rétroprojections RAR - Arizona.
La descente des pendrillons qui créent la galerie de portraits et intérieurs vénitiens où l'action se déroule. Les tableaux de l'exposition ont été réalisés avec des petits Écrans pour rétroprojection fabriqués en RAR - Arizona.
Allusion ironique à l'eau haute qui envahit périodiquement Venise, les flots stylisés ont été réalisés avec le tissu élastique LEL - Perospan.La scène était traversée souvent par passerelles, allusion à l'eau haute qui tourmente de plus en plus souvent la Venise de nos jours.
Le mouvement des scènes mobiles a aussi été réalisé avec la contribution de quelques systèmes de patience Kompas.
Comédie musicale en trois actes
Musique
Libretto
Giuseppe Pizzolato
de Carlo Goldoni
Première

Scénographie
Santi Centineo
Costumes
Giusy Giustino
Direction
technique
Bepi Morassi
Mise en scène
Davide Livermore

Réalisation du décor
Coproduction avec
Saison
2005 / 2006

Matériaux utilisés dans ce décor

1K - Kompas

Systèmes de patience

ASC - Sceno

Toiles

BSU - Super Gobelin

Tulle

COS - Oscurante

Tissus occultants

GTR - Tarlatana

Gazes

LEL - Perospan

Tissus élastiques

RAR - Arizona

Films de rétroprojection

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